Société- Moeurs: un ambassadeur de la cause homosexuelle au Cameroun
L'information passe en boucle dans toutes les chaumières et tous les réseaux d'information au Cameroun. En effet, la République française voudrait dépêcher une personnalité pour la cause des droits des homosexuels au Cameroun. Et pourtant...
Jean-Marc BERTHON puisque c'est de lui qu'il s'agit , voudrait effectuer un déplacement au Cameroun du 27 juin au mardi 1er juillet prochain au Cameroun en tant qu'ambassadeur pour les droits des personnes LGBT. Il est prévu que ce dernier arrive à l'aéroport de Yaounde Nsimalen par le vol Air France AF775 le 27Juin 2023, à 17h55, et s'en ira du Cameroun par le vol AF903 au départ de l'aéroport de Yaounde-Nsimalen, le 1er juillet 2023, à 20h00.
Selon un organigramme apparemment déjà préparé, ce dernier a prévu une audience auprès de S E. M. Lejeune MBELLA MBELLA, Ministre des Relations extérieures de la République du Cameroun, le matin du jeudi 29 juin 2023. Dans cette perspective, l'ambassadeur de France au Cameroun a donc fait savoir que la visite de ce BERTHON sera aussi l'occasion pour l'Ambassadeur pour les droits des personnes LGBT d'examiner la situation des personnes LGBT au Cameroun, les dispositions juridiques définies en vue d'encadrer leurs droits et le dispositif établi pour lutter contre la prévalence du VIH dans le pays entre autre .il est même prévu une conférence-débat sur les définitions du genre, de l’orientation et de lidentité sexuelles, avec un spectacle organisé à l’occasion à l’institut Français du Cameroun de Yaoundé, le 30juin 2023, à 18h00. Toutefois, il faut remarquer que le Cameroun pour l'heure n'a pas entériné selon sa loi cette pratique encore considérée comme contre nature dans la société camerounaise. Il est donc fort probable que cette visite ne se fasse pas car, selon des informations, le ministre des relations extérieures Lejeune Mbella vient de notifier par voix de communiqué que cela ne se fera pas puisque notre loi condamne avec la plus grande fermeté cette pratique et que ceux qui sont retrouvés entrain de le faire sont passibles d'emprisonnement ferme. Aussi arrive au moment où le conseil national de la communication vient de mettre en garde certains médias sur la promotion de cette pratique.